Dimanche 21 septembre 2014

Tout d’abord notre arrivée avec le spectacle du Tarn qui avait revêtu une robe rouge sang spectaculaire : incroyable !

Il pouvait également prendre des reflets chocolats selon le point de vue. Preuves à l’appui sur les photos.

Le Tarn prend sa source au mont Lozère et suite aux pluies sévères des jours précédents, vers Millau il a transporté des alluvions charriées par la traversée des Cévennes.
Cette eau opaque et lourde, sans transparence, en ramant donnait l’impression de soulever des briques !

Nous étions 7 rameurs du Psar, avec 3 bateaux.

La remorque et les bateaux sont arrivés à 11H10 pour un départ à 11H25, tout le monde à mis le paquet pour monter les doubles et participer in extremis à la course en double vétérans. Les organisateurs ont été conciliants et ont décalé un départ pour nous permettre d’y participer. Les 2 doubles sont arrivés à un quart de seconde l’un de l’autre, il a fallu aller voir les arbitres pour le savoir !

Nous avons concouru sur 4 courses.

Lancelot Antoine Thomas ont participé à 2 courses Aurélien à 3 et les 2 filles à une course sur le 4 X- prêté par le TUC. Notre Barrie à barré la yolette victorieuse, mais oui c’était bien la yolette de Ramonville seule et splendide qui glissait au milieu du Tarn, elle était loin devant tous les autres sans conteste.

Le 4x ,malgré des pelles coulées, s’est bagarré sur la ligne d’arrivée et a pris la 3ème places. Les arbitres de courses nous interpellant avec un autre nom de club pour respecter la ligne d’eau puis éviter la berge à la fin nous ont fait perdre notre remontée.
Des supportrices Céline et sa maman nous ont rejoint et offert un fastueux gouter agrémenté d’un cocktail des plus chics !
Nous avons ramené un trophée pour les 80ans du club de Villemur et une coupe !

Splendide journée conviviale et sportive, avec un soleil sans reproche et une chaleur de plein été. J’espère que pour la prochaine régate régionale, la coupe de Noël en décembre à Moissac il y aura plus de participation, et de participants !

A très bientôt sur l’eau.

Géno